Les cinq voies de Thomas D'Aquin
12 janvier 2019

Nous arrivons dans notre commentaire à un des passages les plus cités, commentés, défendus ou réfutés de la Summa. Un de ceux qui sont aussi les plus abusés et mal compris. Les « cinq voies » pour prouver l’existence de Dieu sont tantôt présentées comme un archaïsme philosophique réfuté depuis les Lumières, tantôt comme la pierre d’angle et le chef d’oeuvre de la théologie naturelle chrétienne. Mon objectif dans cet article ne sera pas de défendre particulièrement ces arguments, mais seulement de les présenter. Cela me prendra trop de temps, mais ces défenses existent: je vous renvoie par exemple à une défense de la première voie par David Haines.

Nous en sommes donc à la pars I, Question 2, article 3: Dieu existe-t-il? Toutes les citations sont de cette référence.

Première voie: à partir du mouvement

La première et la plus manifeste est celle qui se prend du mouvement. Il est évident, nos sens nous l’attestent, que dans ce monde certaines choses se meuvent.

Thomas entreprend premièrement par un argument basé sur le mouvement. Dans la métaphysique aristotélicienne, le mouvement est quelque chose de très très large, il peut englober aussi bien le mouvement d’une voiture sur la route, qu’une bûche de bois qui s’enflamme ou un étudiant qui acquiert une connaissance. Il serait peut-être mieux compris comme « changement ».  Autre chose à savoir: chez Aristote, un changement, c’est le passage de la puissance (ou potentiel) à l’acte. Une bûche de bois est brûlée en puissance tant qu’elle est dans la cheminée sans aucune autre intervention. Elle devient brûlée en acte quand le feu lui a communiqué assez de chaleur pour qu’elle s’enflamme.

Or, tout ce qui se meut est mû par un autre. En effet, rien ne se meut qu’autant qu’il est en puissance par rapport au terme de son mouvement, tandis qu’au contraire, ce qui meut le fait pour autant qu’il est en acte ; car mouvoir, c’est faire passer de la puissance à l’acte, et rien ne peut être amené à l’acte autrement que par un être en acte, comme un corps chaud en acte, tel le feu, rend chaud en acte le bois qui était auparavant chaud en puissance, et par là il le meut et l’altère.

Pour qu’une bûche devienne brûlante en acte, il va falloir qu’il existe une autre source brûlante en acte (i.e une flamme). En effet, le potentiel ne peut pas faire passer du potentiel à l’acte. Mettez une allumette potentiellement allumée à côté d’une bûche potentiellement enflammée, et vous n’obtiendrez jamais de flamme actuelle.

D’où l’observation: pour passer de la puissance à l’acte(=changer), il faut un autre objet en acte. Oui mais: un objet ne peut-il pas se changer lui-même? Ne peut-il pas passer tout seul de la puissance à l’acte?

Or il n’est pas possible que le même être, envisagé sous le même rapport, soit à la fois en acte et en puissance ; il ne le peut que sous des rapports divers ; par exemple, ce qui est chaud en acte ne peut pas être en même temps chaud en puissance ; mais il est, en même temps, froid en puissance. Il est donc impossible que sous le même rapport et de la même manière quelque chose soit à la fois mouvant et mû, c’est-à-dire qu’il se meuve lui-même Il faut donc que tout ce qui se meut soit mû par un autre.

Pour répondre à la question d’avant: non, ce n’est pas possible, parce que pour que la bûche devienne chaude, il faudrait qu’elle soit chaude (pour se communiquer de la chaleur). Pour qu’une voiture se déplace, il faut qu’elle se déplace… La contradiction est assez claire: un objet immobile ne peut pas se mouvoir lui-même, il doit obtenir son mouvement d’autre chose.

Donc, si la chose qui meut est mue elle-même, il faut qu’elle aussi soit mue par une autre, et celle-ci par une autre encore. Or, on ne peut ainsi continuer à l’infini, car dans ce cas il n’y aurait pas de moteur premier, et il s’ensuivrait qu’il n’y aurait pas non plus d’autres moteurs, car les moteurs seconds ne meuvent que selon qu’ils sont mûs par le moteur premier, comme le bâton ne meut que s’il est mû par la main. 

S’il faut quelque chose en acte pour qu’il déclenche le passage à l’acte d’autre chose, et que cet acte a besoin d’un autre acte pour passer… alors il va nous falloir un « acte premier » pour lancer toute la chaîne. Un acte pur, qui n’est mis en mouvement par aucun autre…

Donc il est nécessaire de parvenir à un moteur premier qui ne soit lui-même mû par aucun autre, et un tel être, tout le monde comprend que c’est Dieu.

CQFD

Deuxième voie: à partir de la cause efficiente

La seconde voie part de la notion de cause efficiente. Nous constatons, à observer les choses sensibles, qu’il y a un ordre entre les causes efficientes ; mais ce qui ne se trouve pas et qui n’est pas possible, c’est qu’une chose soit la cause efficiente d’elle-même, ce qui la supposerait antérieure à elle-même, chose impossible.

Par cause efficiente, on entend l’objet qui cause un mouvement. Autant le dernier argument était à propos du mouvement, autant celui-ci est à propos de ce qui cause le mouvement. Il y a une parenté entre cet argument et l’argument cosmologique du Kalam de William Lane Craig, dans le sens où ils utilisent tous deux la causalité efficiente.

De façon amusante, on retrouve ce problème dans une des objections contre l’argument du Kalam de William Lane Craig: Daniel Dennet (pourtant philosophe professionnel) a essayé de réfuter l’argument en disant que l’Univers s’est causé lui-même. William Lane Craig lui a répondu exactement la même chose que Thomas d’Aquin: si l’univers se cause lui-même, alors il existait avant d’exister… Soyons charitable et contenton-nous de dire que Daniel Dennet a dit une bêtise plus grosse que lui.

Or, il n’est pas possible non plus qu’on remonte à l’infini dans les causes efficientes ; car, parmi toutes les causes efficientes ordonnées entre elles, la première est cause des intermédiaires et les intermédiaires sont causes du dernier terme, que ces intermédiaires soient nombreux ou qu’il n’y en ait qu’un seul.

Prenons une suite de dominos: si le dernier domino tombe, c’est parce que l’avant-dernier tombe. Si l’avant-dernier tombe, c’est parce que l’avant-avant-dernier est tombé. Mais pour que l’avant…. bref, s’il n’y a pas un premier domino qui est tombé tout en amont de la chaîne, et qu’il est tombé à cause d’une cause première (votre gros doigt graisseux par exemple) rien ne se passe.

D’autre part, supprimez la cause, vous supprimez aussi l’effet. Donc, s’il n’y a pas de premier, dans l’ordre des causes efficientes, il n’y aura ni dernier ni intermédiaire. Mais si l’on devait monter à l’infini dans la série des causes efficientes, il n’y aurait pas de cause première ; en conséquence, il n’y aurait ni effet dernier, ni cause efficiente intermédiaire, ce qui est évidemment faux.

Si toutes les causes dépendent d’une autre, si elles sont toutes à la fois causes de ce qui leur succède et effet de ce qui les précède, alors il va nous falloir une cause première, qui cause tout ce qui suit, et qui n’est l’effet d’absolument rien… La conclusion est donc :

Il faut donc nécessairement affirmer qu’il existe une cause efficiente première, que tous appellent Dieu.

CQFD2

Troisième voie: à partir de la contingence

La troisième voie se prend du possible et du nécessaire, et la voici. Parmi les choses, nous en trouvons qui peuvent être et ne pas être ; la preuve, c’est que certaines choses naissent et disparaissent, et par conséquent ont la possibilité d’exister et de ne pas exister. Mais il est impossible que tout ce qui est de telle nature existe toujours ; car ce qui peut ne pas exister n’existe pas à un certain moment. Si donc tout peut ne pas exister, à un moment donné, rien n’a existé.

La contingence, c’est la propriété pour un objet de pouvoir ne pas exister. Il existe, mais ce n’est pas nécessaire. Par exemple, le fait qu’Emmanuel Macron soit président de la république est contingent, il n’était pas nécessaire que ce soit lui, même si c’est le cas aujourd’hui. De nos jours, William Lane Craig aussi aime bien utiliser l’argument de la contingence, mais basé sur Leibniz plutôt que Thomas d’Aquin.

Si on réfléchit bien, tout dans l’univers est ainsi: notre planète n’est pas nécessaire, notre soleil n’est pas nécessaire, les galaxies et finalement, l’univers entier n’est pas nécessaire. Toutes ces choses ont eu un début à leur existence.

Donc il fut un temps où rien, pas même l’univers n’existait.

Or, si c’était vrai, maintenant encore rien n’existerait ; car ce qui n’existe pas ne commence à exister que par quelque chose qui existe. Donc, s’il n’y a eu aucun être, il a été impossible que rien commençât d’exister, et ainsi, aujourd’hui, il n’y aurait rien, ce qu’on voit être faux. Donc, tous les êtres ne sont pas seulement possibles, et il y a du nécessaire dans les choses.

Ici, on peut encore se dire: ben oui, du néant est sorti un univers. Mais ce n’est pas possible, puisqu’il faut de l’existence pour que l’existence soit. Hors de rien, rien ne fut. Il faut qu’à un moment ou un autre, il y ait un objet nécessaire qui ait amené à l’existence tous les objets contingents.

Or, tout ce qui est nécessaire, ou bien tire sa nécessité d’ailleurs, ou bien non. Et il n’est pas possible d’aller à l’infini dans la série des nécessaires ayant une cause de leur nécessité, pas plus que pour les causes efficientes, comme on vient de le prouver.

On peut postuler un vide quantique nécessaire, mais se pose alors la question de: pourquoi le vide quantique est-il nécessaire? Parce que les lois physiques qui le justifient sont nécessaires. Et pourquoi les lois physiques sont-elles nécessaires? Parce qu’elles sont reliées à un autre objet nécessaire… on entre alors dans une régression à l’infini particulièrement absurde, à moins qu’on ne finisse sur un objet nécessaire en lui-même, qui ne tire son existence que de lui-même…

On est donc contraint d’affirmer l’existence d’un Être nécessaire par lui-même, qui ne tire pas d’ailleurs sa nécessité, mais qui est cause de la nécessité que l’on trouve hors de lui, et que tous appellent Dieu.

CQFD3. Thomas d’Aquin vient de prouver par la Raison ce qui est écrit en Exode 3.17: « Je suis celui qui es ».

Quatrième voie: celle des degrés de perfection

La quatrième voie procède des degrés que l’on trouve dans les choses. On voit en effet dans les choses du plus ou moins bon, du plus ou moins vrai, du plus ou moins noble, etc. Or, une qualité est attribuée en plus ou en moins à des choses diverses selon leur proximité différente à l’égard de la chose en laquelle cette qualité est réalisée au suprême degré ; par exemple, on dira plus chaud ce qui se rapproche davantage de ce qui est superlativement chaud. Il y a donc quelque chose qui est souverainement vrai, souverainement bon, souverainement noble, et par conséquent aussi souverainement être, car, comme le fait voir Aristote dans la Métaphysique, le plus haut degré du vrai coïncide avec le plus haut degré de l’être. D’autre part, ce qui est au sommet de la perfection dans un genre donné, est cause de cette même perfection en tous ceux qui appartiennent à ce genre : ainsi le feu, qui est superlativement chaud, est cause de la chaleur de tout ce qui est chaud, comme il est dit au même livre. Il y a donc un être qui est, pour tous les êtres, cause d’être, de bonté et de toute perfection. C’est lui que nous appelons Dieu.

La quatrième voie évoque par certains côtés l’argument moral pour l’existence de Dieu bien qu’il s’agisse d’une métaphysique tout à fait différente.

L’argument est assez facile à lire pour un lecteur moderne: Nous faisons facilement des échelles de bonté, et de sainteté: Gandhi est plus moral que Al-Baghdadi, parce qu’il a vécu une vie plus orientée vers le bien que le dernier. Mais ce dont nous ne nous rendons pas compte (et c’est toute l’essence de l’argument moral) c’est que cette « classification » n’a de sens que s’il y a un standard moral objectif et suprême, à partir duquel est ordonné toute manifestation de bonté et d’amour.

S’il n’y a pas de Bien avec un grand B, alors la moralité de Gandhi est une morale, celle du calife Al-Baghdadi en est une autre, et cela n’a aucun sens de les comparer. Mais s’il existe un être souverainement parfait, alors cette expérience morale a du sens. Et ce standard ultime de bonté et d’amour, c’est ce que nous appelons Dieu.

Je profite de l’occasion pour glisser un mot sur l’échelle d’être: dans la métaphysique d’Aristote, il y a une sorte de hiérarchie dans les objets existants, tous n’ont pas la même « valeur métaphysique »:

Ce qui existe en potentiel a plus de valeur que ce qui n’existe pas du tout. Ce qui existe en acte a plus de valeur que ce qui n’est qu’en potentiel. Mais toute cette échelle n’a de sens que s’il existe un « être suprême » qui serait pleinement réalisé, sans aucun potentiel ou manque. Un acte pur. C’est aussi ce que nous appelons Dieu, qui est l’Existence même. Nous en reparlerons dans d’autres articles.

Cinquième voie: l’ordre rationnel de la création irrationnelle

La cinquième voie est tirée du gouvernement des choses. Nous voyons que des êtres privés de connaissance, comme les corps naturels, agissent en vue d’une fin, ce qui nous est manifesté par le fait que, toujours ou le plus souvent, ils agissent de la même manière, de façon à réaliser le meilleur ; il est donc clair que ce n’est pas par hasard, mais en vertu d’une intention qu’ils parviennent à leur fin. Or, ce qui est privé de connaissance ne peut tendre à une fin que dirigé par un être connaissant et intelligent, comme la flèche par l’archer. Il y a donc un être intelligent par lequel toutes choses naturelles sont ordonnées à leur fin, et cet être, c’est lui que nous appelons Dieu.

Ce dernier argument est le premier de la famille des arguments « téléologiques », ce qui veut dire: basé sur l’intentionnalité de la nature. Celui qui est défendu par William Lane Craig porte sur un fait physique particulier: la très grande précision des constantes physiques de l’univers. Celui de Thomas est plus général et vague. Si toutes les choses sont arrangées rationnellement ensemble, et que ce sont des choses irrationnelles, alors c’est qu’il a fallu un être rationnel au dessus pour les arranger. Cette famille d’arguments a été plus efficacement défendue par des gens comme William Paley et ses successeurs que Thomas d’Aquin, qui estimait avoir quelque chose de plus solide avec les faits métaphysiques énoncés plus haut.

BONUS: Deux objections si modernes et si bien répondues

Si vous lisez la Summa, vous verrez que Thomas mentionne deux objections à l’existence de Dieu qui sont très, très modernes. Première objection:

De deux contraires, si l’un est infini, l’autre est totalement aboli. Or, quand on prononce le mot Dieu, on l’entend d’un bien infini. Donc, si Dieu existait, il n’y aurait plus de mal. Or l’on trouve du mal dans le monde. Donc Dieu n’existe pas.

C’est une version scholastique de ce que l’on appelle: la version logique du problème du mal et comme vous pouvez le voir en suivant ce lien, elle mobilise encore aujourd’hui beaucoup d’énergie et d’encre du côté des apologètes chrétiens. Voici comment Thomas répond en deux lignes:

A l’objection du mal, S. Augustin répond : “ Dieu, souverainement bon, ne permettrait aucunement que quelque mal s’introduise dans ses œuvres, s’il n’était tellement puissant et bon que du mal même il puisse faire du bien. ” C’est donc à l’infinie bonté de Dieu que se rattache sa volonté de permettre des maux pour en tirer des biens.

La réponse est substantiellement la même que celle des philosophes contemporains: Dieu peut avoir une bonne raison de permettre le mal, par exemple pour en faire un bien supérieur. Nous ne pouvons pas savoir, et donc affirmer le problème « logique » du mal avec certitude.

Deuxième objection:  le problème de la surdétermination causale de l’action divine… plus communément appelé: « God-of-the-gaps » « Dieu-des trous »

Ce qui peut être accompli par des principes en petit nombre ne se fait pas par des principes plus nombreux. Or, il semble bien que tous les phénomènes observés dans le monde puissent s’accomplir par d’autres principes, si l’on suppose que Dieu n’existe pas ; car ce qui est naturel a pour principe la nature, et ce qui est libre a pour principe la raison humaine ou la volonté. Il n’y a donc nulle nécessité de supposer que Dieu existe.

Pour reformuler de façon moderne: Pour tout phénomène naturel que l’on observe, on peut trouver une explication naturelle. Et pour toute action humaine, il y a une explication à l’échelle humaine (psychologique ou autre). Dès lors, pourquoi rajouter sur cette couche d’explication une explication divine? C’est tout à fait inutile.

Ah que j’aimerais voir Dawkins s’exprimer aussi bien. Mais de toute façon ca ne servirait à rien car:

Puisque la nature ne peut agir en vue d’une fin déterminée que si elle est dirigée par un agent supérieur, on doit nécessairement faire remonter jusqu’à Dieu, première cause, cela même que la nature réalise. Et de la même manière, les effets d’une libre décision humaine doivent être rapportés au-delà de la raison ou de la volonté humaine, à une cause plus élevée ; car ils sont variables et faillibles, et tout ce qui est variable, tout ce qui peut faillir, doit dépendre d’un principe immobile et nécessaire par lui-même, comme on vient de le montrer.

Tous ces phénomènes, toutes ces décisions sont nécessairement liées à un agent supérieur, nécessaire, éternel (ne serait-ce que celui qui a créé les lois de la physique…). Et les décisions humaines tombent sous le coup de la quatrième voie: elles sont plus ou moins sages, plus ou moins bonnes, plus ou moins intelligentes… ce qui présuppose un standard de sagesse, de bonté d’intelligence. Cette objection n’est donc pas suffisante.

Conclusion: Exode 3.14

Plutôt que de faire une synthèse, je préfère mettre en valeur l’argument d’autorité que Thomas invoque sur la question, car il est tiré d’un texte de l’écriture qui nous sert souvent de base, à nous aussi, pour affirmer l’existence éternelle et nécessaire de Dieu:

En sens contraire, Dieu lui-même dit (Ex 3, 14) : “ Je suis Celui qui suis. ”

Qui es tu, ô homme, pour contester avec Dieu?

Étienne Omnès

Mari, père, appartient à Christ. Les marques de mon salut sont ma confession de foi et les sacrements que je reçois.

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