Cette période particulière nous confronte d’une manière spéciale à la mort. Non pas uniquement à cause du nombre quotidien de décès que nos médias relaient, mais parce qu’on assiste à la mort de notre liberté, de nos projets, de notre vie sociale. Pour nous qui ne sommes pas de ceux qui sont frappés par la mort physique, considérons que nous avons en fait un sursis, une opportunité pour réfléchir que d’autres n’ont pas eue ou pas prise.
Ce n’est pas une pensée agréable, je le sais, que de se dire qu’un jour tout ce que l’on connait prendra fin. Mais n’est-ce pas fou de vouloir vivre comme si ce n’était pas vrai ? Le taux de mortalité de la vie sur terre est de 100%. Un sage nommé Jésus interrogea ainsi ses contemporains :
« Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s’il perd son âme ? »
Nous serons tous un jour aux portes de la mort, et quelque soit ce après quoi nous courrions, la course sera finie sans qu’on puisse rien en emporter. En ce jour, aurez-vous une réponse à la question du Christ ?
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