Le gouvernement a désiré maintenir les activités essentielles à la nation. J’imagine qu’il peut y avoir une certaine frustration à réaliser que l’activité qui prenait la majeure partie de notre journée n’est pas jugée essentielle par la société.
La foi chrétienne déclare qu’un jour notre vie entière sera évaluée par des yeux omniscients. Quelle immense frustration de penser que le verdict rendu sur notre vie serait celui d’avoir couru pour ce qui n’est pas essentiel ! Et je ne parle pas ici uniquement d’activité professionnelle.
Certaines attitudes du Christ dévoilent ce qui était essentiel à ses yeux :
On amena un jour un paralytique devant Jésus. Bien-sûr, tout le monde s’attend à ce qu’il le guérisse. Mais Jésus voyait un besoin plus essentiel pour ce paralytique que de recouvrer la marche. Aussi, sa première réaction fut de lui dire « tes péchés sont pardonnés ». Il démontra ensuite qu’il avait l’autorité pour dire cela, une autorité divine, en le guérissant. Mais notons l’ordre de ces deux miracles : le pardon, la réconciliation avec Dieu vient en premier. Voilà ce qui semblait essentiel pour l’homme le plus admiré de l’histoire.
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