Les avantages de la venue du Sauveur – Isaac Jaquelot
6 janvier 2024

Isaac Jaquelot (1647-1708), pasteur champenois, a poursuivi son ministère en exil après la révocation de l’édit de Nantes en 1685. Après avoir été à Heidelberg, La Haye et Bâle, il rejoint Berlin où il prêche au Grand Électeur, Frédéric-Guillaume de Prusse, protecteur des huguenots. Défenseur de la théologie naturelle, il se déclare remontrant (arminien) et accorde un grand rôle à la raison, ce qui sera source de disputes avec d’autres grandes figures réformées du temps comme Bayle et Jurieu.

Comme à notre habitude, la langue et l’orthographe ont été légèrement modernisées ; l’édition originale (qui n’est pas exempte de coquilles) peut être consultée ici.


Au même instant, une multitude de l’armée céleste se joignit à l’ange, louant Dieu et disant : Gloire soit à Dieu au plus haut des cieux, paix sur la terre et bonne volonté envers les hommes.

Luc 2,13–14.

Sire,

Le plus beau et le plus magnifique de tous les spectacles que le Monde ait jamais vu se présente aujourd’hui aux yeux de notre foi. Voici l’armée des cieux, la cour céleste du Roi de gloire descendue fur la terre pour publier la paix de Dieu et pour annoncer aux hommes un salut immortel. Autrefois ces ministres du Dieu fort ne paraissaient que pour porter avec eux la terreur et l’effroi. Ils avaient fervi à la publication de la Loi, mais ce n’avoit été que pour la rendre plus formidable au peuple à qui Dieu voulait déclarer ses Ordonnances. Sous cette rigoureuse économie, ces esprits bienheureux étaient souvent les éxécuteurs des ordres sévéres de la justice de Dieu. Aujourd’hui, chargés de bonnes nouvelles, ils font retentir les airs des louanges du Dieu de paix : gloire soit à Dieu au plus haut des cieux, paix sur la terre , bonne volonté envers les hommes. Quel trésor inépuisable de grâces et de bénédicyions ne nous découvrent-ils pas dans ce divin cantique ? Faisons-y, mes frères, quelques réflexions pour animer nos cœurs à répéter ces louanges, dans le vif sentiment des bontés de Dieu, et avec les mouvements d’une juste reconnaissance. Puissions-nous tous les jours de notre vie nous acquitter d’un si juste devoir !

Amen.

Première réflexion

On ne doit pas être surpris de voir les anges des cieux en mouvement : la cause ne pouvait en être plus considérable, ni l’occasion plus importante. Voici, disait l’ange aux bergers, je vous annonce une nouvelle qui sera pour tout le peuple le sujet d’une grande joie, c’est qu’aujourd’hui dans la ville de David, le Sauveur vous est né, qui est le Christ, le Seigneur1. Il faut demeurer d’accord que, si la nouvelle est certaine, les hommes ne pouvaient désirer un plus grand bonheur, ni recevoir, comme le dit l’ange, un plus grand sujet de joie. Le fils de Dieu venu pour sauver les mortels et pour leur procurer une vie éternelle et bienheureuse, que nous resterait-il encore à désirer ? Tous nos souhaits, quoiqu’infinis, ne seraient-ils pas satisfaits ? C’est de quoi, sans contredit, on ne saurait douter, non plus que de la vérité de cette histoire, comme nous le prouverons clairement.

Quand on raisonne en homme, on croirait que la nativité du fils de Dieu aurait été annoncée d’abord au roi Hérode, ou au pontife des Juifs, plutôt qu’à des gens rustiques et idiots, et que ces anges qui se contentent de déclarer cette bonne nouvelle à de simples bergers auraient dû la publier au milieu de Jérusalem et dans le Temple, le siège des oracles du ciel.

Mais quand on fait réflexion sur la conduite adorable de Dieu et sur la sagesse infinie de son conseil, mieux instruit, on reconnaît que les voies de Dieu ne sont pas nos voies2. En effet, le règne du Messie n’était pas de ce monde, pour être environné d’une pompe humaine. C’est un règne céleste qui est sur la terre sans faste et sans apparence. Pourquoi ? Parce que dans ce royaume des cieux, tout est esprit et vie, paix, joie et consolation dans le cœur des gens de bien.

Paix, qui est fondée sur une confiance inébranlable en Dieu, et sur l’espérance d’une résurrection et d’une vie éternelle et glorieuse. Tout cet univers nous parle d’une puissance et d’une sagesse infinie, mais il ne nous apprenait pas que Dieu a préparé de nouveaux cieux et une nouvelle terre à ceux qui le cherchent et qui le craignent. Jésus-Christ a mis cette vérité dans un grand jour, pour tous ceux qui l’étudient et qui s’appliquent à sa recherche, parce que Dieu veut les sauver par la foi. Mais parce que le règne de Dieu est sans éclat et qu’il n’a rien qui frappe les sens, il est vrai aussi qu’il y reste assez de mauvais prétextes d’incrédulité, pour ces gens remplis de l’amour du monde et de ses biens, qui voudraient que Dieu les sauvât malgré eux. Occupés entièrement par leurs passions et leurs plaisiris, on dirait qu’ils attendent que Dieu fasse de nouveaux miracles en leur faveur et qu’il leur envoie des anges pour leur apprendre que Jésus-Christ règne là-haut dans le ciel, et pour les retirer de leur incrédulité criminelle, parce que leur négligence en est la cause. Pensez, mortels endurcis dans l’ignorance et dans le vice, pensez que Dieu a fait tout ce qu’il a voulu faire et tout ce qu’il fera pour nous sauver, c’est à vous à travailler à votre salut avec une sainte frayeur3.

Le fils de Dieu notre Sauveur a paru sur la terre ; donnons une démonstration sensible de cette vérité qui servira d’explication et de preuve à ces paroles des anges, bonne volonté envers les hommes. C’est par ces paroles qu’il faut commencer, parce qu’elles font le sujet et le fondement de la paix de Dieu, et de cette gloire que les hommes célèbrent sur la terre, comme les anges dans les cieux.

Je ne m’arrêterai pas à vous dire que les Prophètes avaient prédit cette bonne volonté envers tous les hommes, quandi ls avaient parlé de la connaissance salutaire de Dieu, laquelle devait se répandre sur le dessus de la terre et la couvrir comme le fond de l’Océan est couvert de ses eaux4. Remarquez seulement l’inspiration du Saint-Esprit, qui seule peut avoir fait prédire ce salut promis à toutes les nations par des prophètes qui n’avaient aucun égard pour ces nations, et qui regardaient les Juifs comme le seul peuple chéri de Dieu. Ils faisaient gloire d’être l’unique nation à laquelle Dieu avait déclaré ses ordonnances et ses lois, lorsqu’il semblait avoir abandonné tous les autres peuples à la séduction de leur cœur et à leurs propres égarements. Cette promesse des grâces qui devaient se répandre sur tous les peuples, cette promesse qui nous vient des Juifs, c’est-à-dire, de nos ennemis, ne saurait être suspecte d’intelligence et de collusion. Jésus-Christ accomplit cette promesse, n’est-ce pas une preuve claire et incontestable tant de sa vérité que de sa divinité ?

Considérons cet accomplissement. Le soleil de justice s’est levé sur la terre, pourrait-on l’ignorer ? Ses rayons brillent de toutes parts. Quand l’astre du jour paraît sur notre horizon, il donne par la dissipation des ténèbres et par l’éclat de sa lumière des marques indubitables de sa présence. Il doit en être de même du soleil de justice ; Jésus-Christ est cette lumière qui vient éclairer tous les hommes : pour ne point l’apercevoir, il faut être aveuglé jusqu’à l’excès des noires vapeurs d’un cœur corrompu. Car enfin il n’y presque rien d’autre à faire que d’ouvrir les yeux de l’esprit pour reconnaître, dans l’heureux changement qui est arrivé au genre humain, la clarté de ce Soleil, qui porte la santé dans ses ailes5.

Avant Jésus-Christ, avant ce soleil de justice, des ténèbres épaisses couvraient le dessus de la terre ; la clarté de l’Évangile les a dissipées. Que peut-on désirer de plus fort et de plus démonstratif pour nous faire remarquer la bonne volonté de Dieu dans l’envoi de son Fils bien-aimé ?

Quel était, je vous prie, l’état du genre humain avant la prédication de l’Évangile ? Excepté le petit peuple juif, chez les autres nations, même les plus polies, et parmi lesquelles la raison et le bon sens paraissaient avoir déployé toutes leurs forces, la religion néanmoins n’avait pour objet que des fantômes de divinités, dont l’histoire fabuleuse était composée de toutes sortes de crimes, d’impuretés et d’abominations ; et lorsque le Créateur des cieux et de la terre y était inconnu, le bois et la pierre, les animaux les plus abjects étaient adorés et invoqués par ces beaux esprits, exercés dans les sciences et dans la politique. Qui pourrait croire que des hommes raisonnables eussent rendu à leurs divinités un culte, d’un côté si honteux qu’on n’oserait en parler sans rougir, et de l’autre si barbare et si cruel que les autels étaient inondés de sang humain, et cela dans Athènes comme à dans Rome, les villes de toute la terre les plus distinguées, soit par la subtilité des philosophes, soit par l’habilité des politiques ? Pourriez-vous bien croire que dans cette superbe Rome, la superstition était si folle qu’on suspendait la résolution d’une bataille ou l’élection d’un magistrat à cause du vol d’un oiseau ou du cri d’une souris ? Quelle sottise, quelle extravagance ! Voulez-vous quelque chose de plus pressant ? Représentez-vous quelle est encore aujourd’hui la triste condition des idolâtres dans l’Orient, ou de ces peuples de l’Afrique et du Nouveau Monde, chez qui la lumière de l’Évangile n’a point pénétré : à la vue de tant d’horreurs et de misères, on est contraint de reconnaître et de confesser que le Seigneur Jésus, que nous adorons, est véritablement le fils de Dieu et la lumière du monde. Laissons les Gentils, entrons chez les Juifs.

C’est ce fils de Dieu qui nous a appris cette première vérité, qu’il faut adorer Dieu en esprit et en vérité6. Quand je fais passer en revue tout cet attirail du culte lévitique, et que je vois ces taureaux, ces brebis, ces boucs destinés aus sacrifices ; quand je me représente ces sacrificateurs dans le temple de Jérusalem, armés les uns de leurs couteaux, les autres de leurs bassins pour égorger les victimes et pour en répandre le sang au pied de l’autel ; quand je considère les cérémonies qu’on pratiquait pour recueillir les cendres d’une vache, ou pour envoyer au désert un bouc chargé des iniquités du peuple, je ne puis m’empêcher de dire en moi-même : à quoi peuvent servir toutes ces choses ? Et si je ne savais que Dieu les avait ordonnées pour un temps, quoique de foi ce culte ne fût pas capable de lui plaire, j’en dirais davantage. Mais quand je suis instruit par l’Évangile, je reconnais avec plaisir qu’un esprit éclairé, un cœur pur, une bonne conscience sont les seules véritables dispositions de l’âme pour rendre au Dieu vivant une adoration et un culte qui lui soient agréables. Dieu est esprit, il veut des adorateurs qui le servent en esprit et en vérité.

La seconde vérité que Jésus-Christ nous a enseignée, c’est qu’on peut l’adorer en tout lieu. Lorsqu’on pense que Dieu ne s’était révélé par sa Parole qu’au seul peuple juif, on sent je ne sais quoi qui critique cette conduite de la Providence, parce qu’elle ne semble pas répondre à la bonté de Dieu pour ses créatures, quoiqu’il n’ait jamais été sans témoignage, vu que les cieux et la terre le prêchent en tout lieu et y annoncent sa puissance. Mais enfin, on est satisfait sur ces difficultés quand on voit cette bonté du Créateur appeler par l’Évangile tous les hommes au salut, parce que Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils au monde, afin que ceux qui croient en lui ne périssent pas, mais qu’ils aient la vie éternelle7. Concluons notre démonstration de la bonté de Dieu envers les hommes par l’envoi de son Fils. Le monde en état d’être délivré des ténèbres de l’ignorance et de l’idolâtrie, afin de connaître le Dieu vivant et vrai pour l’adorer et le servir en esprit et en vérité ; chaque nation capable d’être honorée de la connaissance salutaire de Dieu par la lumière de l’Évangile afin de le servir en tout lieu. Voilà, mes frères, l’heureux changement, l’effet salutaire que la venue de Jésus-Christ a produit en faveur de tous les hommes : la connaissance de Dieu, salutaire à tous les hommes, est clairement apparue, afin de nous enseigner à renoncer à l’impiété et aux convoitises de ce siècle, pour vivre sobrement, justement et religieusement8, dans l’attente d’un bonheur immortel. Donc la bonne volonté de Dieu s’est déclarée en faveur de tous les hommes.

Seconde réflexion

Les anges publiant en vertu de cette bonne volonté de Dieu la paix sur la terre, s’en est une conséquence nécessaire. Quoiqu’il soit certain que la paix régnerait dans la société civile, si les hommes suivaient les préceptes de l’Évangile ; car quel prétexte de guerre y aurait-il entre ceux qui oublieraient les injures et qui s’efforceraient de rendre le bien pour le mail, laissant la vengeance à Dieu, à qui elle appartient ? Néanmoins, il ne s’agit ici que de la paix de Dieu, de cette paix de l’âme qu’il est plus facile de sentir en son cœur que de l’expliquer. Je vous donne ma paix, je vous laisse ma paix, disait le Sauveur du monde à ses disciples, et je ne vous la donne pas telle que le monde la donne9. Ordinairement, la paix avec les hommes n’est ni sincère ni solide, vous le savez, les trois quarts de la vie humaine et plus se consument dans le bruit des alarmes, au milieu des horreurs du carnage et du sang. Avouons pourtant que, quelle que soit cette paix, c’est toujours un grand bien, en ce qu’elle fait cesser les ravages et les cruautés de la guerre, de ce monstre qui dévore tout. Quand je vois les villes et la campagne en feu, les terres incultes et stériles, les grands chemins déserts et investis de brigands, le commerce interdit, les sciences et les arts négligés, la justice abandonnée, les larmes des veuves, les cris des orphelins, et une multitude de familles réduites à la dernière indigence ; monstre ennemi du genre humain, je te connais à ces funestes traces de ton passage : heureux les peuples qui n’entendent parler de toi que dans les nouvelles publiques ! C’est donc un grand bien que la paix des hommes, il faut en convenir. Néanmoins c’est peu de chose, ce n’est rien en comparaison de la paix de Dieu, parce que la paix desh ommes ne saurait parvenir jusqu’à l’âme, ni porter dans le cœur cette tranquillité qui fait le seul et le plus grand bien de l’homme. La paix de Dieu, bannissant les troubles et les inquiétudes de l’âme, nous rend à nous-mêmes : possédez, dit le fils de Dieu, possédez vos âmes par votre patience, je vous donne ma paix10; quelle est-elle donc, Seigneur, cette paix que tu nous donnes ? Écoutez, que votre cœur ne soit point troublé9; c’est l’expression dont il se sert pour nous expliquer cette paix, différente de la paix du monde. Un homme de bien, assuré du pardon de ses péchés, par la miséricorde de Dieu, en vertu de sa foi et de sa repentance, un homme qui s’abandonne à la providence de ce Père céleste, qui se confie en lui comme au maître souverain de tous les événements, et qui se repose à l’heure de la mort sur la fidélité de ses promesses ; c’est là la paix de Dieu : que pourrait-on imaginer de plus avantageux et de plus doux ? Elle est sur la terre, cette paix de Dieu, pour tous ceux qui le craignent, parce qu’elle est de même étendue que sa bonne volonté. Il n’y a plus de distinction entre le Juif et le Grec, cela est clair. Finissons par quelques réflexions, pour dire avec les anges, gloire soit à Dieu aux cieux très hauts.

Application

Mes frères, quand on médite avec quelque application les grands avantages que l’Évangile a procurés au genre humain, et qu’on voit cette lumière toute divine dissiper les ténèbres de l’ignorance, détruire l’idolâtrie, confondre les vices et amener les pécheurs à la repentance et à la justice, ne faut-il pas croupir dans une stupidité profonde et insensée pour ne pas reconnaître et sentir la bonne volonté de Dieu envers les hommes ? Qu’étiez-vous, dites-moi, vous habitants de la Prusse et des pays voisins, il n’y a que quatre ou cinq cents ans tout au plus ? Quel était votre déplorable état ? Savez-vous bien qu’en ce triste temps, vos ancêtres étaient assez malheureux pour adorer le tonnerre, les arbres et les serpents ? Pourriez-vous bien aujourd’hui, en comparant votre bonheur avec cette affreuse condition, vous retenir de donner gloire à Dieu ? Cela n’est guère possible. Il est donc aisé de choisir entre la religion et le monde, entre le service de Dieu et celui de ce monde. Cependant, confessons-le à notre honte, le monde nous occupe tout entier ; et de quoi ? De rien, le plus souvent, ou de ce que je n’oserais dire. On amuse les petits enfants de bagatelles, parce que ce sont de petits enfants, incapables de se conduire par la raison et de suivre la direction de l’Évangile.

Hélas ! mes frères, ceux que l’amour du monde possède et gouverne, ceux qui bornent leurs désirs dans ce monde se rendent criminels, sans être beaucoup plus raisonnables que les petits enfants, parce qu’enfin ce monde n’est qu’une décoration de théâtre, la figure de ce monde passe11; chaque âge a ses occupations frivoles, jusqu’à ce que la mort tire le rideau, et qu’elle nous précipite dans une éternité sans retour, où chacun trouvera selon ce qu’il aura fait, soit bien soit mal.

Travaillons donc, mes chers frères, travaillons dans le temps présent pour nous assurer de cette éternité, et pour acquérir par la pratique d’une piété sincère la paix de Dieu, cette paix de l’âme, ce bien inestimable. Le monde est ordinairement infidèle en ses promesses, c’est un faux ami qui nous abandonne à nous-mêmes et à notre désespoir au jour de l’adversité des maladies, des douleurs et des approches de la mort. Mais la crainte de Dieu, une vie véritablement chrétienne, c’est le seul moyen de nous garantir de ces alarmes de la conscience et des frayeurs de l’éternité. Servons fidèlement ce Créateur, ce Père de miséricorde, qui nous a donné son Fils pour notre salut. Ouvrons nos cœurs à ses bontés, afin que, pénétrés du sentiment de ses grâces, nos actions, nos pensées et nos paroles s’unissent ensemble, pour lui dire tous les jours de notre vie : loué soit Dieu, qui nous a rachetés par le sang de son Fils bien-aimé12. Gloire soit à Dieu aux cieux très hauts, paix sur la terre, et envers les hommes bonne volonté.

Ainsi soit-il.

Isaac Jaquelot (1647-1708).

Illustration de couverture : Jacob Jordaens, L’Adoration des bergers, huile sur toile, 1615-1616 (Athènes, Pinacothèque nationale).

  1. Luc 2,10-11.[]
  2. Ésaïe 55,8.[]
  3. Philippiens 2,12.[]
  4. Ésaïe 11,9, Habaquq 2,14.[]
  5. Malachie 4,2.[]
  6. Jean 4,24.[]
  7. Jean 3,16.[]
  8. Tite 2,11-12.[]
  9. Jean 14,27.[][]
  10. Luc 21,19.[]
  11. 1 Corinthiens 7,31.[]
  12. Éphésiens 1,6-7.[]

Arthur Laisis

Linguiste, professeur de lettres, étudiant en théologie à la faculté Jean Calvin et lecteur dans les Églises réformées évangéliques de Lituanie. Principaux centres d'intérêts : ecclésiologie, christologie, histoire de la Réforme en Europe continentale. Responsable de la relecture des articles du site.

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