Calvin et le baptême : régénération baptismale ou duplex loquendi modus ? — Jim Cassidy
24 août 2020

Cet article est une traduction de Calvin and Baptism: Baptismal Regeneration or the Duplex Loquendi Modus? de Jim Cassidy, datant de 2016, paru sur le blog Reformation21. Jim Cassidy est diplômé de troisième cycle du Westminster Theological Seminary. Il est actuellement pasteur de l’Église presbytérienne de South Austin au Texas.


I. Introduction

Quelle est la relation entre le baptême et le salut dans la pensée de Jean Calvin ? Cette question est d’actualité, étant donné que ce sujet a fait l’objet de nombreuses discussions ces derniers temps. D’un côté, il y a ceux qui prétendent que Calvin enseigne la « régénération baptismale » — du moins sous une certaine forme. D’autre part, certains affirment qu’il a enseigné la « régénération présumée1 », mais il faut garder à l’esprit que ces assertions ne sont pas formulées sans « intentions cachées ». Il semble que, dans l’ensemble, ils réagissent contre une tendance manifeste — tant dans le protestantisme américain en général que dans le presbytérianisme américain en particulier — qui consiste à faire du sacrement du baptême un « signe nu ». Le baptême serait dénigré en tant que simple symbole. En conséquence, la tendance actuelle veut que le baptême soit presque facultatif dans la vie et le ministère de l’Église.

En ce qui nous concerne, nous sommes sensibles à ces préoccupations. Une marginalisation des sacrements peut être ressentie dans ce que nous pourrions appeler « l’évangélisme au sens large », et peut-être même dans certains milieux de l’Église réformée. Mais quelle est la réponse appropriée à une « vision faible » du baptême ? Une « vision forte » semble être la réponse — mais à quel point allons-nous trop loin vers la régénération baptismale ? Est-ce qu’avoir une « vision forte » de ce sacrement implique nécessairement une conception ex opere operato de l’efficacité du sacrement ? Il est certain que si Calvin a enseigné la régénération baptismale, cela devrait nous amener à répondre à ces questions par l’affirmative. Calvin, bien sûr, n’était pas infaillible. Mais il est notre professeur en tant que chrétiens réformés. Et si nous voulons conserver cette particularité d’être réformés, nous devons — surtout nous — écouter Calvin avec sérieux.

Au vu de l’importance de ce sujet, nous défendrons dans cet essai que Calvin n’a pas enseigné ce que nous appelons communément la « régénération baptismale ». Ainsi, s’en tenir à une vision faible du baptême en tant que « signe nu » n’est pas le seul moyen d’abandonner la tradition réformée sur ce sujet ; en effet, aller à l’extrême opposé et s’en tenir à tout ce qui s’apparente à la « régénération baptismale » est tout aussi infidèle. Par opposition à ces deux pôles, le point de vue de Calvin pourrait se résumer par le terme « efficacité baptismale ». En d’autres termes : pour Calvin, le baptême est un des moyens de grâce. Selon les réformateurs, il y avait trois moyens de grâce dans l’Église : la parole, le sacrement et la prière. Et ces trois moyens deviennent efficaces dans un sens qualifié. Et ce sens qualifié est le suivant : ils ne sont efficaces dans la vie des élus que lorsqu’ils sont reçus par la foi et par la puissance du Saint-Esprit.

En d’autres termes, pour Calvin, il n’y a pas de lien automatique — comme le conçoit l’idée d’une application ex opere operato — entre les moyens de grâce et la personne qui les reçoit. La grâce n’est pas communiquée automatiquement, de manière mécanique, à la personne qui en reçoit les moyens. Dire que les sacrements sont « efficaces » ne signifie pas cela. Plutôt, le terme « moyens de grâce » désigne la manière terrestre et humaine par laquelle le Saint-Esprit communique habituellement la grâce au croyant.

II. Le baptême comme un moyen de grâce

L’enseignement de Calvin sur la façon dont la Parole prêchée est un moyen de grâce est parallèle à la façon dont les sacrements en général — en particulier le baptême — sont efficaces. Comme la Parole prêchée, le baptême est aussi un moyen de grâce. Et en tant que tel, il communique la grâce. Il confère ce qu’il signe et scelle : l’adoption, la régénération et le lavage des péchés2. Non pas, bien sûr, de manière automatique ou ex opere operato ; mais avec — et seulement avec — les qualifications mentionnées ci-dessous.

Tout d’abord, le baptême est un moyen de grâce, en conférant ce qu’il scelle et signifie, uniquement pour les élus. Ce que Calvin dit sur les sacrements en général est également vrai pour le baptême en particulier : « Le Saint-Esprit, qui n’est pas à tous indifféremment apporté par les Sacrements, mais lequel Dieu donne particulièrement aux siens est celui qui apporte les grâces de Dieu avec soi, qui donne lieu en nous aux Sacrements, et les y fait fructifier3. »

Nombreux sont les réprouvés qui reçoivent le sacrement du baptême. Mais dans ces cas-là, le sacrement est bien loin d’être un moyen de grâce. Au contraire, c’est un moyen de jugement. Cela ne veut pas dire pour autant qu’il n’apporte pas un bénéfice externe et extérieur aux réprouvés. D’une certaine manière, c’est le cas. Il les initie à la vie de l’Église. Et ils y reçoivent de nombreux avantages grâce aux « opérations communes du Saint-Esprit4 ». On leur donne les oracles et les ordonnances de Dieu, car même les réprouvés sont « ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont goûté au don céleste, qui ont eu part au Saint-Esprit, qui ont goûté à la bonne parole de Dieu et aux puissances du monde à venir (Hébreux 6:4-5) ». Mais, et c’est qui est important, celles-ci ne sont pas les opérations éternelles et internes du Saint-Esprit qui accompagnent le salut. Ce sont plutôt les œuvres communes de l’Esprit données à tous ceux qui sont dans le champ, aussi bien l’ivraie que le blé.

Deuxièmement, le baptême confère ce dont il est le signe et ce qu’il signifie, par la foi. C’est ce qu’affirme Calvin :

Pourtant retenons, ceste conclusion, que les Sacrements n’ont autre office que la Parole de Dieu : c’est de nous offrir et présenter Jésus-Christ : et en lui les trésors de sa grâce céleste. Et ne servent ou profitent de rien sinon à ceux desquels ils sont pris et reçus par foi.

IRC, 4.14.17.

Et plus loin, il réitère :

Ceci se voit en l’exemple du Centenier Corneille, lequel après avoir reçu rémission de ses péchés, et les grâces visibles du Saint-Esprit, fut depuis néanmoins baptisé Act.10.48 : non point pour avoir plus ample rémission par le baptême, mais pour plus certain exercice de sa foi, même accroissement par le gage qui lui en était donné. Quelqu’un (peut-être) fera une objection : Si les péchés ne sont pardonnés par le baptême, pourquoi donc dit Ananias à saint Paul, que par le Baptême il purgeât ses péchés Act.9.17 ; 22.16 ? Je réponds qu’il est dit que nous recevons, obtenons, ou impétrons ce que nous croyons nous être donné de Dieu, soit que nous commencions lors premièrement à le connaître, soit que l’ayant auparavant connu, nous venions à en avoir plus certaine persuasion. Pourtant Ananias en ces paroles a seulement voulu dire cela : Paul, afin que tu sois certain que tes péchés te sont remis, sois baptisé, car le Seigneur promet au baptême la rémission des péchés : reçois-la, et tiens-toi assuré […]. Au reste, nous n’avons autre chose de ce Sacrement, sinon autant que nous en recevons par foi.

IRC, 4.15.15.

Ainsi, pour Calvin, le baptême est un signe qui suit habituellement la foi. Bien sûr, chez un enfant élu, le cas est différent : la foi suit le baptême. Pour un enfant élu qui n’a pas la foi au moment de son baptême (bien que Calvin puisse parler d’un enfant ayant une foi latente comme celle de Jérémie, de David ou de Jean le Baptiste5), le baptême devient un moyen de grâce plus tard dans la vie lorsqu’il parvient à la foi. La grâce qui est signifiée lors de leur baptême leur est alors conférée. Mais — et cela est crucial pour comprendre Calvin à ce stade — le baptême en tant que moyen de grâce ne s’arrête pas là. Pour les élus qui sont dans la foi, le baptême continue d’être un moyen de grâce tandis qu’ils continuent à regarder en arrière vers leur baptême et travaillent à son amélioration6. Par la foi, nous regardons en arrière vers notre baptême et nous sommes encouragés. Comme le dit Calvin : « La grande vérité, par exemple, de notre régénération spirituelle, bien qu’elle ne nous soit pas représentée par le baptême, devrait rester fixée dans notre esprit tout au long de notre vie…7 ». De même, le baptême est un moyen de grâce permanent pour les élus. À chaque fois que le vrai croyant regarde en arrière vers son baptême, par la foi en Christ, le Saint-Esprit communique la grâce signifiée par le sacrement.

Troisièmement, il confère ce dont il est le signe et ce qu’il signifie, uniquement par la puissance du Saint-Esprit8. Calvin écrit :

En outre, il nous faut donner de garde que nous ne tombions en une autre erreur proche, en lisant ce que les Anciens, pour amplifier la dignité des Sacrements, en ont honorablement parlé : tellement que nous pensions quelque vertu secrète y être annexée et attachée jusque-là, qu’en eux les grâces du Saint-Esprit soient distribuées et administrées, comme le vin est donné en une coupe ou tasse : où seulement tout leur office est de nous témoigner et confirmer la bénévolence et faveur de Dieu envers nous, et ne profitent à rien plus outre si le Saint-Esprit ne vient, qui ouvre nos entendements et nos cœurs, et nous rende capables de ce témoignage. En quoi aussi clairement apparaissent diverses grâces de Dieu, et distincte.

IRC, 4.14.17.

Comme nous l’avons mentionné plus haut en référence à la Parole de Dieu prêchée, il en va de même pour le baptême : un moyen de grâce peut être efficace à des moments autres que ceux où il est reçu. Le Saint-Esprit est souverain, et il peut ou peut ne pas conférer la grâce signée et scellée par le baptême au moment de son administration : « Tout ce que Dieu offre dans les sacrements dépend de l’opération secrète de l’Esprit saint. […] Dieu est tellement étranger à l’idée de priver les sacrements de la grâce de son Esprit, que toute leur efficacité et leur utilité sont logées uniquement dans l’Esprit… Ainsi, les sacrements ne sont efficaces seulement ‘où et quand Dieu le veut'9. » Par la suite, Calvin explicite le lien entre le baptême et la Parole de Dieu en tant que moyen de grâce :

Comme la voix extérieure de l’homme ne peut aucunement pénétrer le cœur, il revient à la détermination libre et souveraine de Dieu de donner le bénéfice des signes à qui bon lui semble…L’administration extérieure du baptême ne sert à rien, à moins que Dieu n’en décide autrement10.

En d’autres termes, Dieu peut conférer la grâce avant que le sacrement ne soit administré, ou il peut la conférer au moment de son administration, ou il peut la conférer peu ou longtemps après son administration. En réponse à l’enseignement de Westphal selon lequel les enfants baptisés sont toujours régénérés, Calvin répond que « […] la nature du baptême ou de la Cène ne doit pas être liée à un instant précis11 ».

Quatrièmement, en relation avec ce qui vient d’être dit, la grâce qui est signifiée dans le baptême n’est pas nécessairement liée au signe. Dieu est souverain et peut agir avec ou sans le signe, même s’il agit habituellement par des moyens. Calvin exprime cela comme suit :

Car la grâce de Dieu n’est point liée aux signes en sorte qu’il ne la distribue librement, sans aide quelconque du signe, s’il veut outreplus, plusieurs reçoivent le signe, qui toutefois ne sont pas faits participants de la grâce, pource que le signe est commun à tous, tant aux bons qu’aux mauvais : mais l’Esprit est seulement donné aux éleus. Or le signe (comme nous avons dit) n’a nulle efficace sans l’Esprit.

CALVIN, Jean, Commentaire sur l’épitre de Saint Paul aux Ephésiens, ad Éph 5:26.

Dieu peut certainement conférer la grâce signée et scellée par le baptême en dehors ou à côté de l’administration effective du sacrement. Bien que ce ne soit généralement pas ainsi que Dieu agit, la doctrine de sa souveraineté exige qu’il ne soit pas lié ou limité à l’utilisation ordinaire des moyens de la grâce.

III. Signum et res

Après avoir abordé les qualifications que Calvin fait sur l’efficacité de la Parole et du sacrement, nous voulons aborder la relation entre le signe (signum) et la chose signifiée (res) en référence au baptême dans la pensée de Calvin. Pour lui, la relation entre eux est si étroite que, sans les confondre, le langage de la res peut être utilisé pour le signum. Ainsi, la christologie réformée et chalcédonienne a servi d’analogie. Le Christ est pleinement Dieu et pleinement homme — en union hypostatique sans séparation ni confusion — il en va de même pour la relation entre le signe et la chose signifiée.

En d’autres termes, il y a une « union sacramentelle » dans le baptême. Cela signifie que, en ce qui concerne le signe et la chose signifiée, les noms et les effets de l’un sont attribuables à l’autre. De cette façon, la Bible peut parler du baptême comme du lavage de la régénération (Tite 3:5) et comme l’acte qui sauve (1 Pierre 3:21). Non pas parce que le signe est la chose elle-même, mais à cause de l’union sacramentelle. Il en est de même pour le Christ. En raison de l’unité de sa personne, ce qui est propre à l’une des natures du Christ est parfois dans l’Écriture attribué à la personne désignée par l’autre nature. La situation est similaire en ce qui concerne la relation entre le baptême et la régénération : il n’y a ni conversion, ni confusion, ni composition.

Calvin soutient que l’erreur de la doctrine de l’Église romaine sur la régénération baptismale est la confusion du signe avec la chose signifiée. Nous verrons plus tard que c’est la raison pour laquelle Calvin peut écrire avec un langage qui nous amènerait à penser qu’il préconise la régénération baptismale — tout en rejetant avec véhémence la doctrine romaine. Ce faisant, il attribue à l’Écriture un duplex loquendi modus, une « double façon de parler » concernant les sacrements12. Cela fait partie intégrante de l’herméneutique de Calvin en ce qui concerne certains passages. L’exégèse dépend du public auquel s’adresse l’Écriture. Si le texte s’adresse à des croyants, souvent la chose signifiée sera attribuée au signe. En revanche, si les destinataires sont des non-croyants, le texte peut parler du signe comme « sec et vide13 » Calvin articule le duplex loquendi modus de cette manière :

Je réponds, que S. Paul a accoutumé de parler des Sacrements en deux sortes. Quand il a à combattre contre les hypocrites, qui se vantent des signes nus, et n’ont rien de la vérité, alors il remontre comment le signe extérieur n’est rien, et n’apporte aucun profit: et se courrouce âprement contre ceux qui mettent leur fiance en ces choses externes. Pourquoi cela? Il ne regarde point l’institution de Dieu, mais l’abus et la corruption des méchants. Mais quand il parle aux fidèles, qui usent des signes ainsi qu’il appartient, alors il les conjoint avec leur vérité, qu’ils figurent.

CALVIN, Jean, Commentaire sur l’épitre de Saint Paul aux Galatiens, ad Gal 3:27.

Finalement, l’Écriture — en fonction du destinataire dans le contexte immédiat — peut parler du sacrement de deux manières. Soit elle parle dans un langage où la res est attribuée au signum si l’auditoire est constitué de croyants (comme en Tite 3:5 et 1 Pierre 3:21), soit elle parlera d’une manière qui souligne la distinction entre la res et le signum lorsque l’état spirituel de l’auditoire est l’incrédulité ou discutable. Par conséquent, puisque l’Écriture parle de deux façons des sacrements (duplex loquendi modus), il en va de même pour Calvin. Cette compréhension du duplex loquendi modus de l’Écriture nous aide énormément pour comprendre les citations difficiles de Calvin qui sont souvent citées ; en particulier par ceux qui souhaitent faire évoluer sa position dans le sens de quelque chose qui s’apparente à la régénération baptismale.

IV. Remarques finales

Pour finir, si nous admettons que Calvin a bel et bien utilisé un langage concernant les sacrements qui donnait l’impression qu’il préconisait quelque chose comme la régénération baptismale, nous maintenons avec force qu’en réalité il rejetait cette idée. Au contraire, Calvin — en raison du duplex loqundi modus de l’Écriture — utilisait un langage propre à la res en parlant du signum. Mais même dans ce cas, il précise que le signe n’est pas — en fait — la chose signifiée. Cette doctrine — forgée dans le feu du débat avec Rome, les ubiquitaires luthériens et les anabaptistes — a produit un sacramentalisme qui permit d’éviter à la fois la régénération baptismale et l’anti-sacramentalisme du « signe nu ». Nous ferions bien de suivre le grand réformateur dans sa théologie sacramentelle aujourd’hui.

Avec la permission de l’« Alliance of Confessing Evangelicals » et de l’auteur. Cet article est une adaptation de l’essai original « Calvin and Baptism: Baptismal Regeneration or Duplex Modus Loquendi? », in Lane G. Tipton et Jeffrey C. Waddington, Resurrection and Redemption : Theology in Service of the Church, Essays in Honor of Richard B, Gaffin, Jr. P&R, (2008).

Illustration : le baptême du centurion Corneille, fonds baptismaux de la collégiale Saint-Barthélémy à Liège (Belgique), XIIe siècle.


  1. SCHENCK, Lewis B., The Presbyterian Doctrine of Children in the Covenant, P & R (2003), pp. 11-13, 16.[]
  2. CALVIN, Jean. Institution de la Religion Chrétienne (dorénavant IRC), 4.16.2. Nous modernisons légèrement la langue de Calvin.[]
  3. CALVIN, Jean. IRC, 4.14.17.[]
  4. Ce langage est tiré de la Confession de foi de Westminster, § 10:4 et du Grand catéchisme de Westminster, question 68.[]
  5. Voir ses arguments dans IRC, 4.16.18-20.[]
  6. Une remarque similaire est faite dans le Grand catéchisme de Westminster, question 167.[]
  7. CALVIN, Jean, Commentaire sur le Livre des Psaumes vol. II, Grand Rapids : Baker, 2003, p. 435. Voir également IRC, 4.15.3.[]
  8. Voir WALLACE, Ronald, Calvin’s Doctrine of the Word and Sacrament, Wipf and Stock, 1997, pp. 169-171.[]
  9. WALLACE, Ronald, Calvin’s Doctrine of the Word and Sacrament, p. 169.[]
  10. WALLACE, Ronald, Calvin’s Doctrine of the Word and Sacrament, p. 170.[]
  11. CALVIN, John, Selected Works of John Calvin, Grand Rapids: Baker, 1983, vol. 2, p. 342.[]
  12. Voir, WALLACE, Ronald, Calvin’s Doctrine of the Word and Sacrament, p. 173.[]
  13. IRC 4.14.17, dans l’article original : « … des signes comme des figures vides et glaciales ». Cité également dans le livre de Wallace, p. 172.[]

Hadrien Ledanseur

Enfant de Dieu, passionné par la théologie et la philosophie. S'il est enfant de Dieu, c'est exclusivement en vertu des mérites de Jésus-Christ et de la grâce de Dieu. Si Dieu le veut, il se fiancera bientôt !

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